Il s’agirait d’un phénomène fréquent et particulièrement inquiétant, qui consiste à la demande de personnels spécialisés dans l’aide à l’enfance, au placement pour le moins hâtif sur décision judiciaire, des enfants de ressortissant(e)s africains fragilisés par leurs parcours de vie en France.

Notre association a malheureusement été approchée par une ressortissante ivoirienne qui s’est littéralement vue « kidnapper » son bébé à la maternité juste après l’accouchement, et se heurte depuis à un véritable mur judiciaire.